Your mind again?

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“ Je ne pense pas que je me situe d’un côté ou de l’autre, chacun a ses deux côtés et trouve l’un des deux plus ou moins accueillant et facile d’accès, on est tous fainéants finalement, l’homme est comme ça et cherche d’instinct les facilités, le chemin le plus court, les conversation les moins embarrassantes.

Je suis solitaire quand je le veux, car je le veux, mais je ne sens aucune faiblesse en moi quand au fait d’être sociable, j’aime relever les défis, même ceux dont le but et l’utilité m’échappent, pourquoi pas, mon travail me prend déjà ma dose d'indécision de la journée, donc je ne me pose pas la question.
Est ce que je doit l’aimer, le détester cet homme? C’est pas facile d’empêcher son cerveau d’utiliser toutes ses facultés, mais à quoi sert l’empathie franchement, merde, je suis humain, peut-être que j’aurai du m’injecter des gènes autres aussi, peut-être que ça m’aurai rendu plus... je ne sais pas quoi.
En fait c’est ça que je déteste chez moi, et avouez que vous le détestez aussi chez vous, la fait de vous en faire pour quelque chose ou quelqu’un alors que vous devriez vous en foutre, vous le savez mais c’est plus fort que vous pas vrai? Le fait d'éprouver de l’amour incontrôlé, de la haine, quelle machine agaçante qu’est le cerveau hein, je déteste l'inexplicable, ahh rien que le fait d’en parler, ça m’énerve, de perdre mes mots encore plus. Hé cerveau, tu pourrai me demander mon avis avant de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments idiots dont je me passerai bien? Merci de me mettre des bâtons dans les roues, cerveau, sentiments, c’est pareil.."


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