FASTER (NP1/3)

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PARTIE 1/3
( L'hsitoire complète de Joshua que j'ai nommé "I die for you")


FASTER




Ici commence la nouvelle histoire.
Les mauvais enfants veulent vivre plus vite, faster and faster. Les enfants berlinois que personne n’arrêtent nés dans un milieu aisé, mais en les voyant comme ça, ils ont franchement l’air de tout vouloir ficher par terre. La famille la plus respectable du monde sur la surface émergée de l’iceberg, ils le savaient bien. Un après midi de juillet, Nora l’irréprochable avocate eu un fils sur lequel elle plaça les plus grands espoirs qu’une mère puisse avoir, la réussite, la fortune, l’amour...la fortune.
Quelle ne fut pas sa déception quand une quinzaine d’années plus tard elle réalisa qu’elle avait donné naissance à un artiste, quelqu’un qui voulait révolutionner la vision des gens, une vision dans laquelle l’étroitesse d’esprit de Nora se sentait si bien, elle se disait surtout qu’il n’avait pas à modifier ce monde, ce monde qui l’avait reconnue elle, comme une femme parfaite, répondant a tout les standards, la norme dont elle était fière.
La figure paternelle arriva dans la pièce, et tout de suite la réponse des gènes du jeune garçon était sûrs, ce père le soutenait dans une certaine euphorie, pensant qu’il pourrai faire ce que lui n’a jamais osé rêvé faire. Son fils était la prunelle de ses yeux et il disait souvent qu’il ouvrirai des gorges pour ses beaux yeux.
Le sale gosse qu’était Joshua traitait son père de gay pour rigoler quand il disait ça. "Tu est bien con" lui répondait t’il, la dose de connerie suffisante qui t’approche du pur génie.
Ainsi sa mère décida de fermer les yeux et de laisser son cher mari éduquer Josh comme il l’entendait, se contentent de mentir a ses collègues, disant que son fils s’intéressait de plus en plus aux domaine des finances, et toujours dans la crainte que sa progéniture l’appelle totalement bourré pour lui demander de venir le chercher en voiture. Un vrai boulet. "Qu’ai je fait a Dieu pour mériter ça?" se disait elle, mais la chair est faible et son cher mari trouvait toujours les mots pour la rassurer et lui faire avouer qu’elle avait quand même beaucoup de chance. 

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